L’île du jour d’avant, Umberto Eco, 1996, traduction Jean-Noël Schiffano

L’automne étendant ses longs bras décharnés sur nos parcs, effeuillant sournoisement nos chers érables en de longs streap-tease lascifs et rougeoyants, je pense qu’il serait bon de vous entretenir de mes derniers émois littéraires, de mes dernières billebaudes romanesques, de mes errances oniriques, de mes exaltations livresques, car je viens de terminer la lecture difficile,Read More